Séjour de 5 jours du 13 au 17 octobre 2019 (hors vols)

Le premier jour nous avons visité la cathédrale St John the Divine, curieux et grandiose monument néogothique puis fait une longue promenade sur le site de la très célèbre Columbia University et, à Riverside, nous avons visité le mausolée du général Grant, au bord de l’Hudson River.
La 125e Rue nous a permis de découvrir le cœur du Harlem noir, de l’univers du Savoye, du Coton Club et de l’Apollo Theater qui seul subsiste de cette grande époque. Après, nous avons visité les Brownstones, maisons typiques du vieux New York où la maison coloniale de Alexander Hamilton, ministre des finances de George Washington nous a plongé dans l’époque où Harlem n’était encore qu’un village.
L’après-midi a été consacrée à la visite de la Frick Collection.
Grand collectionneur, l’industriel Henry Clay Frick (1849-1919) fit construire son hôtel particulier afin de rendre accessibles au public les trésors qu’il avait rassemblés. Le musée présente des œuvres majeures de la peinture (Lippi, Holbein, Rembrandt, Vermeer, Goya, Renoir…) et de la sculpture (Michel-Ange, Houdon…), et vaut également pour son mobilier et sa décoration.
Suivent des images glanées au hasard des rues et avenues
et le soir venu, nous découvrons times square très proche de notre hôtel.
Le lendemain, nous déambulons dans Manhattan avant de monter au sommet de l’Empire state building, à nouveau ouvert après de longs mois de fermeture pour travaux


La visite s’est poursuivie par celle de la gare de Grand Central Terminal dont nous avons apprécié le style Beaux-Arts.
Enfin nous avons aperçu, au fil de notre promenade, l’American Radiator Building, œuvre de Raymond Hood (1924) qui dessina le Rockefeller Center, les cubes de béton du Met Life Building, dus à Gropius ; le cube de verre du United Nations Building ; le sommet biseauté du City Corp Center mais nous avons trop traîné pour pouvoir visiter le Chrysler building, joyau de l’Art nouveau.

L’après-midi n’a pu être dédiée la visite du Métropolitain Museum of Art (MET), qui venait de fermer pour d’importants travaux ; nous l’avons remplacée par celle du Métropolitan Museum qui ne manque pas de richesses non plus et abrite des œuvres américaines.

Ce musée possède une section de peinture d’artistes américains qui rappelle les toiles que nous avions vues à Blérancourt
Le soir, en extra, presque tous malgré la fatigue se sont rendus au Théâtre Majestic pour assister à l’éblouissante représentation du « Phantom of the Opera », spectacle typique s’il en est du style comédie musicale américaine de Broadway avec une mise en scène généreuse comme on n’en voit plus en Europe et des costumes somptueux, Le livret de Gaston Leroux vient de Paris et la musique d’Andrew Llyod est très impressionnante !

La matinée du troisième jour a été consacrée à Visite du musée Guggenheim. Ce célèbre bâtiment, est l’une des icônes de New-York et compte comme l’une des créations majeures de la fin de la carrière du bre architecte moderne américain Franc Llyod Wright.


Pour un second soir consécutif, encore en extra, les amateurs de musiques nouvelles se sont retrouvés au Jazz Vanguard à Greenwich village pour une soirée de jazz contemporain, parfois déroutant mais qui a permis d’apprécier la musique vivante qu’aiment les grands amateurs Newyorkais !

Le quatrième jour nous avons embarqué pour l’îlot où trône la statue de la Liberté éclairant le Monde, restaurée en 2012, que nous avons longuement admirée de l’extérieur car le bateau, tombé en panne a dérivé quelques dizaines de minutes sur l’Hudson river…

Œuvre du français A. Bartholdi, aidé par Eiffel, elle fut inaugurée par une grandiose parade le 28 octobre 1886. Nous avons débarqué à Ellis Island où ont débarqué entre 1892 et 1954 seize millions de candidats cherchant un asile et une vie nouvelle aux Etats-Unis. Le musée de l’Immigration présente une émouvante synthèse de leur aventure humaine dans ce lieu où les immigrés étaient attendus avec dignité et d’où bien peu étaient refoulés.

L’après-midi, nous avons découvert lors d’une promenade à pied, le quartier sud de Manhattan, le Financial District. De Wall Street à Pearl Street jusqu’à South Street Sea Port, nous avons parcouru cet entrelacs de rues tracées au XVIIe siècle afin d’admirer les architectures prestigieuses des grandes compagnies soucieuses de marquer leur puissance par l’originalité de leur style.
Il pleuvait à seaux et la découverte de Ground zéro dans cette atmosphère était lourde de sens

Plus légèrement, le beau temps revenu, nous avons rejoint Greenwich Village, haut lieu de la vie nocturne new-yorkaise mais aussi quartier calme et paisible construit dès la fin du XVIIIe siècle où les petites maisons « brownstones » sont très recherchées par les intellectuels ou les artistes.
Boîtes de jazz et restaurants à la mode, boutiques et épiceries fines donnent à ce quartier presque provincial une animation toute particulière et fort sympathique.

Le cinquième jour, avant de rejoindre l’aéroport, nous nous sommes promenés le matin dans Central Park, réserve de verdure en plein cœur de New York, avec ses 340 hectares parsemés de statues et de monuments. Le plus beau parc de la ville borde l’une des plus élégantes avenues, Upper Fifth Avenue avec ses immeubles imposants dotés de halls grandioses, parmi eux, celui de la Frick Collection.
En fin d’après-midi, à cause d’un vent tempétueux, l’avion a décollé avec plusieurs heures de retard en direction de Paris.
Texte inspiré du programme établi par ‘‘Intermèdes’’ Photos Bernard Gomel




























































